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Investir en loi Pinel en faisant appel au crédit immobilier

Investir en loi Pinel en faisant appel au crédit immobilier

Investir en loi Pinel, offre de nombreux avantages pour se constituer un patrimoine tout en optimisant ses impôts sur le revenu.

Parmi les avantages de l’investissement immobilier en loi Pinel, la protection de l’emprunteur et de sa famille n’est pas négligeable.

Pourquoi faire un emprunt pour financer son investissement loi Pinel ?

Faire l’acquisition d’un bien immobilier éligible au mécanisme de fonctionnement de la loi Pinel grâce au crédit immobilier vous permet de bénéficier de l’assurance de prêt et de protéger vos proches en cas de décès ou d’invalidité de l’un des emprunteurs.

En effet en cas de décès ou d’invalidité avant la fin du remboursement de votre crédit immobilier, l’assurance prendra à sa charge le remboursement du capital restant dû. Le bien transmis aux héritiers sera alors payé.

Qu’est-ce que l’assurance de prêt ?

Lorsque vous sollicitez votre banque pour souscrire un emprunt immobilier, vous avez l’obligation de souscrire une assurance pour garantir votre prêt.

Cette assurance de prêt n’est pas obligatoirement souscrite auprès de votre banque, depuis le 28 juillet 2014 et la loi Hamon. Vous êtes libre de faire de souscrire une assurance autre que celle proposée par la banque, les assurances extérieurs s’avèrent parfois plus intéressantes que celle des banques.

L’assurance de prêt immobilier vous protège, vous emprunteur, et vos proches en cas d’invalidité, de maladie ou de décès mais protège aussi l’organisme prêteur afin que ce dernier puisse récupérer les sommes prêtées.

Comment obtenir le meilleur taux pour financer son projet d’investissement en loi pinel ?

Optimiser son prêt immobilier est un tâche qui peut s’avérer ardue surtout lorsqu’on souhaite le faire seul.

Le niveau historiquement bas des taux du crédit immobilier et les avantages fiscaux offerts pour l’investissement dans l’immobilier locatif, sont des éléments déterminant pour se lancer dans un projet de ce type, mais comment profiter des meilleures offres ?

Passer par un courtier

Passer par un courtier en crédit immobilier s’avère être une solution intéressante à plusieurs égards :

  • un gain de temps, le courtier dispose d’un réseau de partenaires bancaires qu’il peut solliciter facilement. Plus besoin pour vous de faire le tour des banques en prenant garde de ne pas dépasser la date limite indiquée sur l’offre de chaque banquier
  • un conseil précieux, la mission du courtier est de trouver la solution de financement adaptée à votre projet, sa neutralité lui permet de vous accompagner objectivement

Autre atout pour mettre toutes les chances de votre côté, démontrer votre capacité d’épargne, les banquiers apprécieront de constater la régularité avec laquelle vous épargnez (plus d’ailleurs que le montant) et ils pourront même vous donner accès au PTZ dans le cadre de la Loi Pinel.

Immobilier : 70 % des nouveaux crédits dépassent les 20 ans

  • La durée des crédits immobiliers pour les investissements en loi Pinel et les autres opérations s’allongent en France. En parallèle, le coût d’accession à la propriété ne cesse d’augmenter. Une situation commune à de nombreux pays.

    Des crédits immobiliers de plus en plus longs

    Les durées des crédits contractés par les Français ne cesse d’augmenter. D’après une étude récemment menée par l’Observatoire crédit logement CSA, la durée moyenne des emprunts immobiliers contractés dans le cadre de l’acquisition d’une résidence principale est de 230 mois, ce qui correspond à une période de 19 ans.

    En moyenne, cette durée s’est étendue de 31 mois sur les 5 dernières années. En d’autres termes, force est de constater que le crédit des Français s’étend d’un mois tous les deux mois, ce qui est relativement conséquent.

    Ces faits sont la conséquence immédiate de la hausse des prix de l’immobilier dans les grandes villes Françaises. Dans certaines zones tendues, les prix augmentent tandis que les ressources de la population stagnent. La seule option alors à disposition des primo-accédants, reste l’allongement de la durée du crédit pour ne pas faire grimper le montant des mensualités.

    À l’heure actuelle, les prêts qui dépassent les 20 ans correspondent à plus de 70 % des nouveaux crédits contractés. Parmi eux, 45 % disposent d’une durée au supérieure ou égale à 25 ans. Les emprunts peuvent parfois s’étendre jusqu’à 30 ans, mais s’ils ne sont pas les plus nombreux (moins de 1% du marché). En parallèle, l’apport personnel des acheteurs se réduit proportionnellement.

    Alors, jusqu’où peut se prolonger cette tendance ? On considérait autrefois que les limites d’endettement du contribuable allaient obliger les vendeurs à ne pas augmenter leur prix. Il n’en a rien été et les différents acteurs du marché (banques et acquéreurs) ont su s’accommoder de ce marché en constante évolution. Les banques ont de leur côté mises à disposition des durées étendues tandis que les acquéreurs ont contracté des prêts plus longs pour accéder à la propriété.

    Des voisins pas exempts de tous reproches

    En France la durée des emprunts maximum atteint 30 ans, ce qui n’est pas le cas de tous les pays européens :

    PaysDurées maximales des crédits observées
    Suisse, Royaume-Uni
    50 ans
    Suède
    1 siècle
    Pays-Bas
    Hypothèques sur plusieurs générations

    En Suisse et au Royaume-Uni, certains crédits courent par exemple jusqu’à 50 ans. De leur côté, de nombreux contribuables suédois se sont endettés pour plus d’un siècle. Il faut toutefois noter que le mécanisme de remboursement est différent en Suède. Les mensualités pour les remboursements ne concernent que les intérêts tandis que le capital est payé en une seule fois, lors de la revente du bien. Ce type de prêt, également accessible en France, se nomme le prêt in fine.

    Lorsque la bulle spéculative sur l’immobilier a éclaté au japon dans les années 80, les acquéreurs contractaient alors des prêts sur plusieurs générations. Au Pays-Bas, des hypothèques familiales commencent à apparaître. Dans ce fonctionnement, parents et enfants s’engagent conjointement au remboursement de l’emprunt.

    De leur côté, les différents marchés immobiliers Français sont détachés. D’une part, on assiste à une hausse des prix de l’immobilier dans certaines régions tandis que les prix diminuent dans d’autres. Concrètement, 50 % de la France n’arrive pas à acheter tandis que l’autre moitié ne parvient pas à vendre. On pourrait donc aboutir à terme à un système d’endettement sur plusieurs générations.

Investir en loi Pinel en faisant appel au crédit immobilier

La prime d’activité ne vous permettra pas d’emprunter plus

L’aide de l’État de 100 euros par mois ne sera pas considérée comme une hausse du revenu des Français.

Si vous souhaitez investir en loi Pinel, la prime ne vous permettra pas d’augmenter votre capacité d’emprunt. Les règles restent donc inchangées pour les prêts amortissables et les prêts in fine.

Cette annonce impacte aussi bien les locataires que les propriétaires.

Une aide non éligible aux crédits immobiliers

C’est par le biais du courtier en crédit immobilier « VousFinancer », que les banques ont annoncé la mauvaise nouvelle. En cause, les nombreuses incertitudes qui planent concernant la nature de la pérennité des aides, ce qui n’est pas de nature à rassurer les organismes bancaires.

Jointe par le média Le Figaro, la Fédération bancaire française clarifie la situation :

« À partir du moment où le revenu peut être considéré comme durable, il entre dans le calcul de la capacité d’emprunt dans le cadre d’un crédit immobilier. »

Et de poursuivre sur la raison de la non retenue de cette prime :

« Nous ne savons pas si la prime d’activité sera maintenue dans le temps », « Si des particuliers l’ont reçue à tort, elle est susceptible d’être reprise » ou encore « Nous manquons de visibilité sur sa pérennité. »

Les propriétaires aussi pénalisés

De plus, le montant de la prime varie en fonction du statut de locataire ou celui de propriétaires. Ces derniers recevront des primes moins importantes, voire nulles.

Vous Financer explique :

« Cette prime au mode de calcul complexe versée par la Caisse d’allocations familiales tient compte des revenus du demandeur, de ceux de son conjoint, de la composition du foyer et des autres prestations déjà versées, mais aussi du fait qu’il soit propriétaire – hébergé à titre gratuit ou locataire ».

Par exemple, certains propriétaires ne bénéficient pas de cette aide alors qu’ils auraient pu y prétendre dans le cas où ils avaient été locataires.

Ci-dessous, un tableau comparatif du montant de vos droits en fonction de votre situation :

 Célibataire sans enfantCélibataire avec enfants (2)En couple sans enfantEn couple avec enfant
Revenu1500 euros1800 euros2600 euros à deux3000 euros à deux
Prime pour un locataire126 euros448 euros/mois133 euros/mois142 euros/mois
Prime pour un propriétaire60 euros285 euros/moisPas de primePas de prime

 

Rappel des faits

Suite aux différents mouvements sociaux survenus ces dernières semaines en France, Emmanuel Macron annonçait en décembre dernier, de nouvelles mesures pour répondre au pouvoir d’achat des Français : « Le salaire d’un travailleur au Smic augmentera de 100 euros par mois dès 2019 sans qu’il en coûte un euro de plus pour l’employeur ». Cette mesure concerne en réalité une hausse de la prime d’activité. Elle est entrée en vigueur le 1er janvier dernier.

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